L’histoire d’Ibanez est celle d’une domination rapide et d’une réinvention quasi constante. Beaucoup d’entre nous connaissent l’histoire récente des modèles compatibles avec le shred de la société et ont possédé une guitare RG ou S-Series à notre époque. Cependant, l’histoire d’Ibanez commence beaucoup plus tôt, en 1908, avec une société appelée Hoshino Gakki, un distributeur de partitions et de produits musicaux à Nagoya, au Japon.
Ibanez a frappé le radar des acheteurs de guitares américaines à la fin des années 1960 et 1970 lorsque la société a délaissé la production de designs originaux de mauvaise qualité pour des répliques de haute qualité de célèbres Fenders, Gibsons et d’autres marques américaines emblématiques. L’augmentation de la qualité d’Ibanez a coïncidé avec la baisse de la qualité de fabrication des fabricants de guitare américains et la baisse de la demande, qui a accompagné l’ère du disco. La société mère de Gibson, Norlin, a finalement intenté «le procès» contre Hoshino, intentant essentiellement une action pour contrefaçon de marque déposée sur la forme de la conception de la tête de guitare. L’action a été réglée à l’amiable en 1978.
À ce moment-là, les acheteurs de guitares étaient déjà conscients de la haute qualité et des guitares relativement bon marché offertes par Ibanez, et de nombreux joueurs de haut niveau avaient déjà adopté les nouveaux designs originaux d’Ibanez, tels que le modèle Signature Semi-hollow body de John Scofield, et Kiss ‘Paul Stanley et L’Iceman, et les modèles emblématiques de George Benson. Avec ces approbations d’artistes, Ibanez a abandonné les copies et a commencé à commercialiser exclusivement des dessins originaux.
